samedi 26 février 2011

Les jolis papiers...

Comme je l'écrivais ici il y a quelque temps, je voulais vous montrer mes achats de papiers à plier, à découper, ou juste à collectionner parce qu'ils sont si jolis...

Tout d'abord, mes papiers de chez Ikea. Comme à chaque fois, et comme pour chaque personne qui franchit les portes du grand marchant de meubles suédois (un petit coucou à Ingvar en passant, il habite la commune où je travaille :) je n'étais pas du tout allée là-bas pour acheter du papier, bien sûr!
Mais voilà, comme à chaque fois, je jette un coup d'oeil un peu partout en passant, y compris au rayon enfant. Et là, je découvre un kit de scrapbooking pour les enfants, PYSSLIG de son joli nom. Comme tout était bien emballée dans un emballage en plastique, je ne voyais pas trop à quoi j'avais affaire, mais le simple fait d'apercevoir une ou deux feuilles avec de jolis imprimés a fait battre mon coeur un peu plus vite, et je n'ai pas tergiversé longtemps, hop dans le chariot!
Dans la boîte il y a donc 24 feuilles de format A4 joliment imprimées (voir ci-dessous), mais également 2 feuilles avec des petits dessins à découper, 6 enveloppes et 6 "cadres" pour des cartes.
Tout ceci, j'imagine, pour que les enfants sages bricolent des cartes pour mémé ou les copains.
Eh ben pas moi, na!



       

Le papier est un peu épais, d'une drôle de texture (d'ailleurs sur les photos on voit que quelque feuilles sont un peu gondolées); ce n'est pas trop l'idéal pour faire des petits découpages en finesse, mais j'aime beaucoup le choix des couleurs et des motifs à pois ou à rayures. Il y a quelques autres motifs que je n'ai pas photographié car ils me plaisaient moins.
Un autre endroit où j'ai trouvé des jolis papiers: Uchitomi, l'épicerie japonaise que l'on peut trouver à Lausanne et à Genève.

C'est de toute façon un plaisir de se rendre chez Uchitomi car losqu'on pousse la porte, on se retrouve transporté au Japon. Dans cette petite épicerie, on trouve les produits nécessaires à la réalisation de recettes japonaises (riz, nouilles, bouillons, condiments, produits frais, produits congelés, boissons, sucreries,etc.); on peut aussi commander des sushi à l'emporter, ou avec un peu de chance en trouver dans le frigo si l'on n'a pas pensé à passer commande. Il y a aussi un très joli choix de vaisselle et des produits japonais d'usage courant.
Et si l'on a de la chance (par exemple, quand je ne viens pas de passer :) on trouve des papiers japonais!








Le papier est tout simple, plutôt fin, idéal pour des pliages ou des découpages. Il est de format carré.

Chez Uchitomi, j'ai aussi trouvé un autre type de papier, de plus grand format et avec des motifs "brillants":



Et pour finir, voici les papiers que j'ai trouvé chez Futon Asia, ce petit magasin à la rue Centrale à Lausanne, pas très loin du pont Bessières.

   
     



Je crois que c'est ce type de papier qui est le "vrai" papier japonais (mais en réalité il y a plusieurs sortes de papiers japonais, d'après mon livre d'origami, j'ai pas encore tout compris :). Il a une texture qui me fait penser au buvard, ce n'est pas très pratique pour le découpage, le pliage est plus indiqué.
J'aime bien les motifs avec les petits lapins, c'est mignon comme tout!


Pour finir, je vais vous parler d'un endroit où je ne suis pas allée (c'est bien loin d'ici, et la dernière fois que j'y étais je ne connaissais pas encore!) mais dont j'ai entendu parler sur internet. Dans la blogosphère, j'ai à plusieurs reprises lu des articles à propos d'Adeline Klam (par exemple ici, sur le blog de Griottes, ou là, chez Cachemire&Soie, ou encore ici, sur Unbeaujour). Il s'agit d'une jeune femme qui a une boutique de papiers japonais (et d'autres choses encore...) à Paris. Je vous encourage à aller visiter son blog, qui vous donnera sûrement plein d'envies d'achats...

dimanche 20 février 2011

badges de cochon d'Inde

Je viens vous présenter ma dernière commande, que j'ai terminée il y a une semaine:
5 badges de cochon d'Inde :)
(ben quoi, c'est permis d'être fan de cochon d'Inde, non?)


Il y en a 6 car j'en ai découpé un à double en pliant le papier noir en deux.




Malheureusement les couleurs réelles ne ressortent pas très bien ; c'est sur la première photo qu'elles sont le plus conforme à la réalité, là où on voit les 6 badges en même temps.

 Comme je ne m'y connais pas trop en cochon d'Inde (je n'ai qu'un vague souvenir du dernier cochon d'Inde d'une de mes soeurs), j'ai utilisé google image pour trouve des photos de cochon d'Inde, et pour me faciliter la tâche j'ai sélectionné directement les images de type "dessin au trait". Ensuite je me suis bien appliquée pour les copier, en modifiant un détail par-ci ou par-là selon mes goûts ou en pensant au découpage qui allait suivre.

Je vais "livrer" ma commande mercredi, j'espère que mon "client" sera satisfait :)


A part ça, je voulais vous faire un petit aperçu de mes dernières dépenses. Chez moi, ce n'est pas la vue d'un sac d'habits nouvellement acquis qui me met du baume au coeur; c'est plutôt la vue d'un tas de magazines et de livres pas encore lus à côté de mon lit!
En matière de livres, j'essaie plutôt de me fournir à la bibliothèque municipale, pour limiter les dépenses. Toutefois, je n'y trouve pas toujours mon bonheur (certains livres sont vieillots, ou alors je ne trouve pas exactement ce qui m'intéresse). En général, j'essaie d'attendre une petite sortie en France pour céder à mes envies, car je trouve que la différence de prix entre Suisse et France est importante. Mais là j'ai craqué :)

En ce qui concerne les magazines, j'essaie vraiment de me limiter, mais c'est dur! Petit à petit, je parviens quand même à me désintoxiquer :) Aujourd'hui, j'ai fait un grand pas: j'ai jeté plein de magazines au papier, certains dataient d'il y a 5 ans! J'avais un peu mal au coeur pour certains, d'autant plus en voyant les prix (12.- pour un magazine de déco, par exemple... ) mais je crois que suite à cela, je vais encore plus me limiter. D'ailleurs, en lisant des blogs je trouve une partie de ma dose d'évasion nécessaire... car pour moi, certains magazines,comme certains blogs, sont un moyen de s'évader dans un monde parfois inaccessible. D'autres magazines, et d'autres blogs, stimulent ma créativité et mon imagination. Sauf que de la rêverie à la pratique, il y a parfois un grand pas!

Bon, trêve de discussion, voici donc mes dernières acquisitions:

En me lançant dans ma housse crochetée, je me suis intéressée au crochet et j'ai trouvé ce livre tout mignon avec plein de jolies idées. Si je parviens à en réaliser une (mais ce ne sera sans doute pas celle de la couverture), je vous la montrerai. Pour l'instant, toutes les explications me paraissent très théoriques, beaucoup trop pour mon petit ciboulot!

samedi 12 février 2011

Cours de découpage chez Henriette Hartmann

Samedi passé, je suis allée suivre un cours de découpage chez Henriette Hartmann.
C'est chez elle que j'ai suivi, il y a un peu plus d'une année, une série de trois cours de découpage et c'est à partir de là que s'est réellement développée ma passion pour le découpage (donc aussi ce blog, les marchés artisanaux, etc.).

Comme je le disais dans ce post, j'ai eu envie de retourner suivre un cours pour me lancer dans les bordures. J'en ai fait pour certains découpages, mais elles sont restées très simples. Je suis impressionnée par les bordures que font certain(e)s découpeurs(euses), elles sont emplies de motifs variés et très fins et ces motifs, en se répétant, sont si semblables qu'on a l'impression que le papier a été plié en accordéon et le tout découpé en une seule fois, alors qu'en réalité on sait bien que c'est impossible.

C'est donc pour essayer de percer les mystères de ces bordures que je voulais prendre un cours chez Henriette Hartmann. Je me suis retrouvée en compagnie de cette dernière et de trois autres dames qui suivaient leur troisième cours.
J'avais déjà préparé le dessin pour le centre de mon découpage à la maison, en laissant la bordure vierge. H. Hartmann m'a donné des explications concrètes afin que je puisse dessiner une bordure régulière et elle m'a montré des exemples de bordures faites par elle-même ou par d'autres découpeurs. Les trois autres dames ont terminé un travail qu'elle avaient déjà entamé lors du cours précédent, puis elles ont commencé le dessin d'un nouveau découpage.

Henriette Hartmann est très flexible durant ses cours, elle s'adapte aux envies et aux besoins de chacun et sait donner des conseils de manière constructive. J'apprécie particulièrement le fait qu'elle donne des "trucs" bien concrets qui facilitent le travail (par exemple comment coller le découpage sans s'arracher les cheveux :).
 L'ambiance est détendue, on papote un peu tout en se concentrant sur son travail, et de temps en temps on boit un petit thé (j'ai toujours peur de renverser le mien!). Le cours se déroule dans l'appartement de H. Hartmann et (aucun rapport avec le découpage mais bon...) j'adore la vue qu'il y a depuis ses fenêtres, on voit le lac, c'est magnifique!

mercredi 9 février 2011

La housse de smartphone: suite

Juste un petit mot pour vous raconter les petites histoires qui sont survenues après que j'ai terminé ma housse en crochet :)

Quelques jours après avoir étrenné ma housse, en rentrant du travail je trouve un paquet dans ma boîte aux lettres, avec écrit dessus "Swisscom". Et il y a mon nom dessus (c'est si rare)! Mon petit cerveau se met en branle et le temps que j'atteigne la porte de la maison, que je cherche mes clés, que j'entre et que j'ouvre le paquet, je me rappelle que quelques jours auparavant, alors que j'étais au marché en ville avec ma moitié, ce dernier avait disparu dans une boutique Swisscom puis en était revenu sans que je me demande ce qu'il y avait fait...et là je sais: il a (quand même) commandé la housse noire en pétrole fabriquée en Taïwanie du sud-est, le fourbe! Si c'est pas de l'amour, ça :)

dimanche 6 février 2011

housse en crochet pour mon smartphone



Un post hors-sujet, c'est-à-dire consacré à autre chose que du papier...

Ma moitié m'a offert pour Noël un magnifique smartphone dont je n'avais absolument pas besoin mais bon que je m'habitue petit à petit à utiliser (c'est quand je me retrouve à essayer d'utiliser ce genre d'objet que je comprends pourquoi mon grand-père dit qu'il est trop vieux pour se mettre à utiliser un ordinateur) .

Ma moitié n'avait toutefois pas poussé la générosité jusqu'à accompagner le smartphone d'une housse, ce qui ne me dérangeait absolument pas puisque je ne suis pas maniaque pour un sou... mais, étant donné que ma toujours moitié me faisait les gros yeux à chaque fois qu'il constatait que j'enfilais mon smartphone dans mon sac à main plein d'objets potentiellement capables de faire d'horribles rayures à l'écran tactile, j'ai décidé de m'équiper d'une housse.

Ayant aperçu dans une boutique lausannoise des housses assez sympa (pas ces trucs tout noirs qu'on achète chez MediaM...), j'y suis retournée, mais hélas le gentil monsieur du magasin a eu beau tout essayer ("hé, cassez pas mon natel, quand même!"), impossible d'enfiler l'engin dans la housse Donnerstag (celui qui a compris mon jeu de mots gagne un badge)... eh oui, dans ce monde de brute tout est fait pour les Iphone, pas pour les HTC...

Toujours résolue à ne pas acheter une de ces housses noires si banale, je me suis creusée le ciboulot (bon en réalité je crois que mon idée de génie m'est tombée dessus comme ça) et j'ai eu une illumination: je vais me crocheter une housse!
Vous êtes sans doute sceptiques et vous avez bien raison, mais je vais quand même continuer mon récit au cas où quelqu'un voudrait lui aussi se crocheter une housse de smartphone. Tout le monde peut le faire puisque je l'ai fait! (et en plus une collègue m'a dit que sa fille en a fait une à l'école donc...)

Première étape: je vais chez Manor m'acheter de la laine et un crochet. Pourquoi de la laine? Disons que le choix était assez limité et le coton que j'ai vu était beaucoup trop fin. J'ai donc pris une laine assez épaisse (et j'ai été obligée d'acheter une pelote immense, je pense que je vais encore pouvoir crocheter une centaine de housses, avis aux amateurs).

Deuxième étape: je me suis installée à la table de la cuisine et je me suis concentrée très fort pour me rappeler comment je faisais il y a ... quinze ans? J'ai empoigné le crochet et la laine et j'ai commencé. Et là: miracle, ça marche! Bon,  j'ai quand même dû recommencer 3-4 fois car à chaque fois je prenais le fil du faux côté.
Et là, toute contente, je crochète une ligne, deux lignes, trois lignes,... euh, y a comme un problème. "Mais non, c'est juste que je fais mes mailles trop serrées". Je continue encore quelques lignes, et là, je dois regarder la réalité en face: je ne sais pas crocheter.



Ou autre option: il faut inventer le smartphone triangulaire.
Ou dernière option, je ne sais plus crocheter, mais il n'est jamais trop tard pour réapprendre! Je vais à la bibliothèque municipale emprunter un livre sur le crochet.

(en passant, je vous fais une petite pub pour la bml: ok son site ne paie pas de mine et la bibliothèque elle-même, avec ses murs oranges, son emplacement en sous-sol et les dealers qui trainent dehors ne paie pas non plus de mine... mais c'est une vraie mine d'or à mon avis, j'y trouve souvent mon bonheur: livres de cuisine, BD, livres de déco, magazines (Elle, Edelweiss, Marie-Claire, Femina, Marie-Claire Maison,...) et j'y passe régulièrement un bon moment.)